Registres du début du siècle
Ce travail n'est pas fermé et va continuer de grandir, il peut-être donner lieu à des projets liés.
Toutes ces photographies ont à voir avec l'espace et/ou le manque de lui, avec mon chagrin ressenti face à la destruction systématique de Lisbonne et de beaucoup de ces immeubles anciens
Chaque fois que je vois un bâtiment abandonné, ou fermé je commence à l'occuper dans mes rêves, à imaginer la lumière qui envahit son intérieur et je songe combien j' y serais heureux.
Invariablement, quelque temps plus tard, je le vois à terre ou, converti en immeuble de "luxe", vide en dedans, transformé en chose criarde
Je ne suis pas contre les modifications, mais j'aimerai que soit maintenu quelque chose de plus simple et surtout de plus joli.
Données sur les photographies : Diapositives moyen format, digitalisées du négatif/négatif nb moyen format
Texte : Catarina Costa Cabral
Traduction: Sofia Quintas
Collaboration: Yves Rousselet